Sur la gauche, un primeur et vendeur de produits locaux et bio "La Charrette" qui sort justement sa charrette sur le trottoir.
Ce local a été fermé plusieurs mois, après qu'un primeur sans nom y ait été ouvert en 2012-13.
Ce magasin a abrité durant plusieurs années l'épicerie du Grand Boutonnet, ouverte 7 jours sur 7 et jusqu'à tard le soir, tenue par Abdel qui a ensuite occupé l'épicerie "Marché Boutonnet" au n°60 jusqu'en 2015. (MàJ : mai 16)
Sur la droite, le siège de la Sté SERS Albert, spécialisée en peinture, papier peint et autres revêtements. Le rideau est rarement ouvert mais l'enseigne est là ! (MàJ : mai 16)
n°60 :
Depuis mai 2016, une supérette sous l'enseigne Casino.
Elle a pris la suite, après quelques mois de fermeture, de l'épicerie-bazar "Marché Boutonnet", tenue par Abdel qui avait une épicerie plus petite au n°62. Abdel avait pris la suite d'un magasin de pacotille et d'objets jetables qui s'est appelé successivement "Paris Prix", "Euro Prix" et "l'Euro". Mais avant celà, dans les années 80, M. Gerassi y tenait un atelier de ferronnerie.
n°58 :
Un salon de thé qui fait aussi des snacks et des cocktails, le "Snob Loundge" a ouvert fin 2015. Il a succédé à un snack qui proposait des tacos pendant quelques mois (je n'ai pas eu le temps de prendre la photo !)
Ce snack a succédé au magasin "Fraicheur du Sud", initialement primeur dans la partie gauche (fermé depuis fin 2011) et boucherie dans la partie droite.
Ces deux commerces ayant pris le relai d'une épicerie bio tenue par Marie, celle qui tenait le "8 à 8" au n°79. Au 58, Marie avait pris la suite d'un bar traiteur, "Chez Jacky", où s'était tenue la première réunion de ce qui allait devenir l'Association Bout en Train. C'était en 1995. Il y a eu là aussi une crêperie, "Chez Lucas", et, auparavant, un matelassier, M. Joly.
n°56 :
Sur la gauche, depuis 2014, un magasin de cigarettes électroniques qui fait aussi serrurerie, boissons, bonbons et même barres chocolatées
Ce commerce a pris la suite d'un local d'infirmières. Sans doute le plus petit local de la rue. Il y avait avant un atelier de couture et de retouche.
Sur la droite, le salon de coiffure "Arc en ciel"
n°54 :
Aujourd'hui le n°54 est une simple façade avec une fenêtre au rez de chaussée. Mais le numéro y est encore inscrit et l'on voit bien que la fenêtre a remplacé une porte sur la rue. Qu'y avait-il avant ?
Jusqu'au début des années 2000, une boîte aux lettres qui a connu bien des mésaventures était fixée sur la façade. Elle a d'abord subit les assauts des flammes lorsqu'un soir, Tokyo, habitant-chanteur-crieur de la rue (voir Place Krasucki) a entrepris de faire griller un pigeon sur le trottoir, au pied de la boite aux lettres. Son combustible ? Une mousse de fauteuil récupérée sur une voiture ! Les flammes sont montées jusqu'au premier étage. Le pigeon était trop cuit comme la boite aux lettres et son contenu.
Quelques mois plus tard, le facteur qui passait, comme tous les jours, ramasser le courrier dans la boite a, comme tous les jours, arrêté sa voiture dans la rue, devant la boite, bloquant il est vrai la circulation pour moins d'une minute. Klaxon d'un automobiliste en attente, au civisme aiguisé. Le facteur poursuit son travail. L'automobiliste fou de rage qu'on le retarde descend de voiture, s'approche du facteur en hurlant et lui casse la figure. Le facteur finit aux urgence pour se faire recoudre. La Poste déplacera la boite dans les semaines qui suivent sur la place Krasucki.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire